Rechercher “Je vous dois la vie”

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H. JASPERS 17, rue des Pâquerette* BRUXELLES Etes-vous à la recherche d’une situation? Etes-vous appelé à subir un examen? Désirez-vous étudier la comptabilité, la sténo-dactylographie, les langues? Demandez à L’Institut Commercial...la maison même de Sing-Sing, fut tellement frappé de la désolation de la vie des prisonniers qu’il supplia le directeur pour que celui...jeune fille, échappant aux griffes d’un roi dont la couronne vacille. Dois-je ajouter: la ravissante Rosita, chanteuse des rues de Tolède, c’est Mary . . .
Orchestre de premier ordre. BOWLING PALAIS DE LA GANSE ï plus va! Bruxelles. Deux grands orchestres. Etes-vous à la recherche d’une situation? Etes-vous appelé à subir un examen? Désirez-vous étudier la comptabilité, la sténo-dactylographie, les langues? Demandez à L’Institut Commercial...vitesse; le prix en sera le titre de champion, et la main de la gente lady. Dois-je vous dire qu’après des péripéties mouvementées tour à tour cocasses...ahuri. — Pauvre camarade, dit-il après un instant, vous' êtes malade? — Un- coup de soleil, probablement. 11 ferma la croisée. — Vous étiez tout à fait parti. — Pour la Californie, m’écriai-je, bouleversé en voyant autour de moi les objets familiers semés . . .
la jolie'prêcheuse: — I Smour? Voilà précisément ce qui me manque. Si je sentais auprès de moi, liée à moi pour la vie, une âme pareille à la vôtre. Si vous vouliez, Cecily, si vous vouliez... Benedict Hicks était en train, ma foi, de trahir son...Mais celà doit se faire dans l’ordre et dans la mesure. — Cecily, suppliait Gerald, je comprends. Je vous ai blessée d’abord en me moquant de vos élans généreux vers...principe. — Qu’allez-vous dire de moi aux lecteurs de « Ciné-Revue »? , — Tout le bien que je pense de vous! — Trop aimable! — Et je serai en dessous de la vérité! Conversation à bâtons rompus. — Mon vœu le plus cher, vous le connaissez: une production cinématographique belge . . .
Aux termes du traité, je dois rendre au roi de Suède tous les prisonniers; je ne sais ce qui adviendra de toi. » Elle lui baise la main et répond: c je suis votre servante, faites ce que vous voudrez; je.ne crois pourtant pas que vous soyez disposé à me rendre ». — « Je vais tâcher, répond-il, de m’entendre avec le roi. » Rustique et...vous voulez faire du cinéma, comme moi-même. Ah! les « peintures mouvantes »! Etes-vous photogénique? On m’assure que j'ai tout pour réussir. .Je veux faire ma carrière dans le film. J’ai quitté hier soir la petite ville de l'Illinois où j’étais couturière. Mais ce métier...toufné plusieurs mois comme simple figurante. Je ne resterai pas longtemps « extra », je vous l'affirme. Je nage, je monte à cheval, je fais de la boxe, je danse. Ma famille est contre mes projets, naturellement. Vous savez, il ne faut jamais regarder dans l’objectif: c’est une . . .
du ciel. Je n’ai pas besoin de vous dire combien vite je suis revenue de mon erreur. Et je vous assure que je préfère de beaucoup mon métier tel qu’il est, avec toutes ses...conduit là) en sortant de la salle: — Fichue invention! conclut-il. Je préfère la lanterne magique. Je dois avouer que j’étais de son avis, et que les autres spectateurs...à Régine Dumien, on a peine à se figurer que c’est la même fillette vue à l’écran. Elle ne cherche pas à vous en imposer et vous mène volontiers dans sa chambre pour vous montrer sa poupée. Ou bien elle vous propose une partie de cache-cache et s’élance la pre- {mière, au grand détriment des meubles qu’elle renverse . . .
et le posa sur ses genoux. L’Irlandais prit alors la place du singe. Après un moment, l’Irlandais hasarda: — Je vous demande pardon, monsieur, quelle est la nationalité de votre ami? — Moitié irlandais et moitié singe...avec une ferveur extrême, écoute, Maritana, je t’aime. Depuis' cette fête «le la Madone, où je te rencontrai, dans la folie de la joie. ieé /cttWrid. 810 aux Violettes de Nice, Lyatris du Japon...envers nous et nous lui devons mille grâces. La reine, étonnée, s'avança: — Je me joindrai donc à vous pour remercier mon Seigneur, dit-elle, et je dois aussi lui demander pardon d’avoir osé le soupçonner, sur . . .
cette serveuse, ces frites et ces moules! Si on vous sert ça dans le paradis de Mahomet, je veux être Turc pour le restant de ma vie. La reconnaissance ayant toujours été une de mes vertus les plus...je parvins à conquérir une petite place tout là-haut, sous la toiture. Il fallait se pencher un peu, maisl j’avais de la sorte la satisfaction de ressembler à la tour de Pise. J’étais assis, — très mal, d’ailleurs, — à côté d’une grosse...vous comprenez la beauté de certaines attitudes. HOMME QUI ASSASINA «Je reproche au metteur-en-scène américain d’avoir fait porter . . .
pour une vie de lutte et de bonheur. Si vous n’étiez pas si riche... — Cela importe certes. Je sais bien que je porte en moi une volonté de vivre et de réussir, qui trouvera...écoutez. Devant Dieu que j’ai si souvent prié ici, je vous dois une révélation et un aveu. Vous n'avez jamais connu vos parents. Moreau est un nom emprunté...mes bras que je t’ai suivie, que j’ai épié ta vie, que je t'ai sauvée de la gêne et de la honte. Tu ne m’échapperas pas. Me rembourser! Ce n’est pas de jeu . . .
je me livrerai aux enchères publiques et vous serez toujours le libre Tartare de la prairie. Le troisième jour au matin, la belle Sahanda, vêtue de sa plus belle robe et couverte de ses...de dire: « Monsieur le Bourgmestre, en vous serrant la main c'est à toute la Belgique que je la serre; nous nous sommes serré la main dans la peine autrefois, il est juste aujourd’hui que nous nous la serrions dans la paix et la joie ». Vous avez raison Miss Gloria Swanson ce sont des liens profonds...le livrer à la mort. Mais à cause de toi, Sahanda, je lui donne la vie. 11 est libre. Je vais plus loin. Je te rends aussi ta liberté. Tu peux, à ton choix, partir avec celui . . .
Non, madame, c’est du véritable skungs inusable; vous le porterez pendant des années. — Et cela ne s’abîme pas à la pluie? — Madame, répondit le foürreur, je ne peux vous affirmer qu'une chose: c’est que je n'ai jamais entendu dire que les skungs aient l'habitude de...du cinéma. Si vous pouvez m’envoyer l’argent pour le voyage, je me mettrais en route sitôt que je l’aurai reçu. 11 ne sera pas nécessaire qUe vous vous donniez la peine de venir m’attendre au débarcadère à New-York, car j’ai...vous le trouverez certainement dans un des bistrots de la ville. Je vous remercie d’avance. » TES YEUX ONT DES REFLETS SI DOUX ( Romance . . .
Voyons, il faut être raisonnable, disait pour la vingtième fois Madame de Sombreuse. Vous comprenez bien que je n’agis que dans votre intérêt, dans l’intérêt des enfants. Vous serez beaucoup mieux à l’hospice où l’on vous gâtera que dans cette roulotte, avec ces deux mioches pour...en aller. Nous avions peur d’être rencontrés par la Dame des Pauvres. — Par le diable! non, je ne vous laisserai pas, répondit le méchant marchand. Ou bien vous m’aiderez à faire mon commerce et nous partagerons les bénéfices...Vous m’avez peut-être sauvé la vie. Vous avez sauvé en tout cas mes biens. Comment m’acquitter? Pierrot . . .
Vraiment, disait-il quelques jours plus tard, je ne puis m’empêcher, Miss Eanny, de vous adresser mes félicitations. Tout est en règle. Je me demande pourquoi je suis ici. Vous ne le savez pas? Je ne vois pas, non. La chose est claire, cependant. Vous êtes ici parce ranny est sportive. gaie et pratique; aviatrice...un autre émoi avait envahi son âme et qu’il aimait. — Je vous aime, Fanny, disait-il en tremblant à la jeune fille toute frissonnante, Je vous ai d’abord estimée flammes, alimentées par les herbes séchées...et elle s’enfuit par les couloirs. Il la suivit. Elle gagna la chambre de son père et s’aperçut que la porte'' était fermée et la clef enlevée. Elle se pencha contre la serrure et appela à voix basse: — Père, êtes-vous là? Il répondit et lui conseilla de regagner sa chambre sans . . .
une femme qui a étudié la vie et qui a acquis le sens exact de la vérité dans les expressions. Soit qu elle joue le rôle d’une...m’avez-vous accompagnée, puisque c’était pour me dire que vous ne m’aimiez pas. „ Il la met sous les yeux . de sa femme et tout s’arrange. Mizzi, repoussée...que je songe. Madame, et avec quelle angoisse! La jeune femme s’apitoya Contez-moi cela, voulez-vous? Je serai votre con- ( fidente. D avouer des peines, c’est déjà un peu . . .
de l’île. A la 22rae page je tombe sur une petite scène que je vais vous conter en quelques mots: Lilian va au bord de la mer; elle aperçoit le bateau chargé de bananes, qui se trouve...du rivage; elle pique une tête et se jette à la nage. Je pense en moi-même que j’aime bien nager et je continue. Elle nage. Et puis je dis ce qu il y a dans le scénario: •.,< Elle grimpe gentiment à la chaine de l’ancre, tonneau par anneau, jusqu’à ce qu elle arrive...mon metteur en scène: « Je ne sais pas, mais je crois que vous vous êtes trompé ». Surpris, il me demande: « Comment? Que voulez-vous dire? » — « Edi bien, mais c est un jeune numéro à sensation du sexe . . .
tout un métier nouveau à apprendre... Puis ce fut La Douceur d’aimer, avec Victor Boucher... Mais oui, vous savez bien que c’est mon film préféré. J’aime la légèreté, la. finesse, tout ce qui constitué ce qu’on appelle v l’esprit français...J’allais ensuite à Trinity où, tout en travaillant, je m adonnai avec ferveur au rugby, au saut et à la course à pied. Je gagnai en même temps mes grades universitaires et mes diplômes...je jouais les premiers rôles dans les films de la Vitagraph, mais je voulais être metteur en scène. Cela me fut assez difficile . . .
les premiers jours de décembre. — Puis-je connaître la distribution? — Vous êtes trop curieux... pas encore. Vous repasserez... Et Jean Boyer ajoute plus bas: — Ça me brûle la langue... mais j’ai promis de ne rien dire... G. OULMANN. rendre heureuse...les spectateurs en pleine féerie. Un passage comme la course de Lilian Harvey en pleine campagne relève de la fantaisie la plus pure. Dans ce domaine, je crois que le cinéma peut porter un coup assez dur au théâtre...de celui-ci, lui lit une lettre: « Au nom du Tzar, je vous prie de faire remettre mensuellement 1.000 florins à la demoiselle Christine Waitzinger. Signé: Bibikoff. » Un sourire . . .
chien, mais d’hommes justes et bons jetés hors de la vie par la méchanceté et la mauvaise foi universelles. Ils ont cherché refuge sur un bateau...le mois que je viens de passer à Berlin, je parlais toute la matinée par téléphone avec Moscou pour régler les moindres...travail qui me manque. Ajoutez à cela la mise au point de la version française du dernier film russe: « Seule », que vous verrez d’ici peu... » G. L. GEORGE Maison JulesPeeters Rue Houblonnière . . .
zal stellen de kleine Hanne te trouwen. Rivaux Je la Piste Willy Streblow n’a qu’une passion dans la vie: la bicyclette. Il consacre à son entraînement toutes ses rares...de drogue, les dangers de la coco et de la morphine, leurs pouvoirs destructeurs sur la volonté, sur la vie, la liberté même des malheureux qui s’y abandonnent. Un film venant...travail, pourtant, c est là que nous avons fait la meilleure besogne: pourquoi? Je ne me propose pas de vous 1 expliquer, cela fait partie du miracle viennois, car avec . . .
à louer, elle rencontre enfin Monsieur Gébel. « Où dois-je vous conduire?», dit celui-ci. — « Mais à l’hôtel Impérial ». Une fois arrivée...temps vient la pluie, après les vacances, la rentrée, après la préparation, vient le film. bit c’est là ce qui caractérise la vie des acteurs à Vienne; les producteurs avisés profitent presque...à l’oreil- le d’une pierreuse, en lui baisant la main: « Chère amie, je vous présente mes hommages déférents! ». Il faut de tout pour faire . . .
de taxi s’eng... » sur laquelle René Clair vous demande de placer les injures qui vous viennent à l’esprit. Je dois avouer que, sous ce rapport, j’étais battu de loin par Raymond...musique, chanson!... Au lieu de dire avec force à la femme qui est en face de vous: « Je te veux, j'ai envie de toi, viens! » on vous oblige à lui murmurer avec accompagnement d’orchestre...mâles, forts, énergiques, et qu’ils dominent la situation au lieu de se laisser emporter par elle. Je regarde ce grand garçon, sympathique eUplein de vie, qui parle français, anglais, espagnol, allemand. Bien découplé . . .