Rechercher “Le Champ de la mort”

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à des talents belges qui, sous l’habile direction de » M. Georges Ketterer, le directeur de la S- K. A. P., promettent de devenir de bons artistes de l’écran. Cette charmante comédie a pour cadre, tantôt le château de Wesêm-beek, tantôt le champ de courses de Stockel, tantôt quelque autre coin de notre harmonieux Brabant. Le rôle principal est tenu par Mlle Maryse Larose, la gracieuse artiste de ciné qui, déjà dans Marouf îit montre...intéressant de le savoir et de suivre l’amant trahi de Manon dans les phases de ces douloureux épisodes de sa vie. Le cinéma pourrait nous le montrer, avant et après le pimpant tableau idu Cours-la-Reine. Après la scène dans l’église, au premier acte de la Tosca, tandis que derrière le rideau fermé les machinistes plantent le. décor de la salle à manger du tyran de Rome, ne serait-il pas passionnant...de suivre sur l’écran la course des sbires de Scarpia courant à la villa, de Cavaradossi, explorant la maison, le jardin, ne trouvant rien, mais, après la dénonciation de Floria. Tosca, découvrant enfin le fugitif traqué tapi dans le puits du jardin? Quel film passionnant que celui de A cette chasse à l’homme, du suicide de l’évadé du château Saint-Ange, de l’arrestation du chevalier . . .
la-Loi et de La Vierge de Stamboul. Ce fut une révélation. Dans la première de ces productions, Priscilla Dean, aux côtés de Léon Chaney et de l’adorable bambin Stanley Goethals, a conquis le spectateur. Pour ce qui est de La Vierge de Stamboul, ce poème d’amour plein de grâce, et tout baigné de la chaude lumière d’Orient, ne doit-il pas à son interprétation...se trouvait avec elle à l’heure du crime. Du coup la voilà brouillée avec Wilson car il ne veut rien croire de ses affirmations sur la parfaite correction de la visite nocturne de son camarade. Il en vient même jusqu’à la brutaliser et la quitte furieux. Mais, incidemment, le jeune auteur dramatique apprend de tante Irma comment elle a assisté de son lit à l’entrevue des deux jeunes gens. L’écrivain s’empresse...LES STUDIOS Glana Kimbal Wrung (que noue venons de voir sur l'écran de l um des meilleurs cinémas de. la ville dans la «Femme sauvage» -—en même temps que La .nieuse Gomstainoe Tal-madge — dans la comédie « Les Bas de S-oie »} se rendait .un j-oiur en auto au champ deviation près d’Ed-endalie, quand un jeune homme, sur la route, .pria le chauffeur de stopper, et au nom de la loi « non écrite » de la route, demanda la boîte à outils pour une réparation . . .
qu’on ne se l’imagine) ne sera étranger au cinéma: le soldat de 1940 passera probablement plue de temps dans la salle de projections que sur le champ d’exercice; le malade cloué sur son lit oubliera son mal en se divertissant...L’ORPHELINE Grand cine-roman en 12 episodes de L. FEUILLADE. Prologue, En 1903, à Alger le capitaine de Réalmont fait la connaissance de la comtesse Nadia qui habite la villa Tanit en compagnie de Sakounine. Leurs amours sont de courte durée. Le capitaine se croyant trompé, envoie à la Comtesse une lettre dans laquelle il lui dit qu’il part et ne...les grandes lignes. Par une superbe nuit de mai, alors que- tout Venise acclame Eléonore et Roland, le fils du Doge, à la veille de leur mariage-, trois louches individus échafaudent de noirs projets de vengeance: Altieri, fou de passion pour la belle Eléonore, hait à mort Roland. Le grand Inquisiteur Foscari convoitant le siège du doge poursuit le même but, et enfin Impéria, la reine des courtisanes ne peut supporter . . .
c’est qu’il a créé un style. Et c’est du point de vue de la f chnique, du style, de la forme, en un mot, que l’on doit juger les productions de l’écran. I.orsqu’il examine un tableau, le critique est moins ému par le sujet représenté que par le talent de l’artiste. De même, la lecture d’un M. Jacques de Baroncelll. poème nous révèle avant tout des rythmes qui nous...caractéristiques. En ce moment, on voit répété le résumé, au jour le jour, des faits marquants de la grande guerre. Le champ des réalisations est vaste. Le succès est toujours assuré à ces rappels d’un passé proche...plus innombrable -ment changeants que ceux de la vie elle-même, de la vie quotidienne, de la vie d’autour de nous, de la vie que l’on dit trop volontiers banale? Le cinéma refait en images mouvantes tous les beaux livres des . . .
passés. Un soir, dans le restaurant de nuit fréquenté par elle, Jacqueline fait la connaissance d’un aventurier, affilié à une association de maître-chanteurs, qui lui propose de la ramener en France L’évocation de son pays, le souvenir de ce qu’elle y a laissé font qu’elle accepte l’offre. A l’hôtel de Bordeaux où ils sont descendus, Jacqueline, dans une sorte...on ne peut se faire une idée, quand on a pas vu le film, de la puissance dran| tique de l’interprétation de la belle Pauline Frederick, qui dans le rôle si difficile de la Femme X..., s’affirme tragédienne de tout premier plan. Les plus blasés sur toutes les productions...la panthère à sas trousses, a la présence d’esprit de faire le mort. — Ohl c’est très simple, répondit-le cher: hier, je lui ai annoncé le taux du nouvel impôt sur le revenu: je lui ai calculé son chiffre pour cette année, et son . . .
jamais de ravir les jeunes mamans, et qui de nous hésiterait à entreprendre la confection de ce ravissant bavoir, en pensant au plaisir qu’éprouvera la maman lorsque vous lui en ferez cadeau. La photo montre suffisamment les parties à broder au point de Richelieu, anglaise à brides ou au plumetis. Le centre des roses se fera au point sablé, ou mieux, ajouré à la grosse aiguille...Ya-nova, interprète du Sens de la Mort; M. Baroncelli, met- ( teur en scène de Le Rêve; M. J.-L. Croze, de Comédia; M. Benoit-Lévy; MM. Delacet Vandal, etc. Un Deuil dans la Cinématographie Américaine Breazy Eason, le plus jeune « »tan » de rUniversal, est mont. Tout en jouant dans la rue, le petit acteur fut écrasé par un camion qui traversa T Universal...où il là passa, on prépare une scène d’e chacune de ses pièces. Ce sera, soit un type classique du théâtre de Molière, soit la reproduction d’une estampe du temps. M- Jacques de Féraudy est chargé de la mise en scène, Ce film est tourné dans la Comédie-Franç.aise même, sur le plateau ou bien dans le différents coins du bâtiment. Tous les acteurs de notre théâtre national, prêtent leur concours à cette1 manifestation . . .
au studio. Il aide M. Marcel L’Herbier à imposer la personnalité de ses conceptions hardies dans « le Torrent », tandis que peu après il interprète le personnage principal de « Bouclette » où Gaby Deslis; jadis simple vedette de music-hall, s’affirme artiste véritable. Enfin voici la période de la Baroncelii, la plus longue, et sans doute la plus glorieuse pour le réalisateur comme pour son premier interprète: « Le Roi de la...Quel canevas merveilleux que l’histoire de Claude Lantier pour le scénariste qui voudrait évoquer la vie de l’artiste, dans le milieu de la bohème parisienne, avec toutes les affres de la création, toutes les rancœurs de la lutte contre l’incompréhension bourgeoise! Les phases du...unes de celles qui ont compris l’importance de la toilette, en tant que « décors»: il sied, parmi ces artistes, de ne point oublié Gloria Swanson. Les photos nous la mon trerft sur cette page, parée d’une robe de Lansin. Le jjojssage en est de dentelle de Venise, la jupe de velours noir. Puis, voici une.robe dessinée par Etel Chaffin . . .
d’éclater et l’abbé Gérard gtt sur le sol inanimé. Le croyant mort, l’ancien séminariste prend les vêtements de prêtre et se présente au presbytère en son lieu et place. Le blessé dans la violence de sa chute a perdu la mémoire. Revêtu des habits de Kursaal, Anderlecht Rose Blanche . . Rodolphe .... Rialto Coliseum...rue Albert de Latour, BRUXELLES. AU CINÉMA LE CAPITOLE Porte de Namur Porte de Namur Cette semaine du '13 au 19 Janvier: La Colère Sacrée Le film dont tout le monde parlera et dont la réalisation n'a pas coûté moins de 10 millions de francs.. C’est une attraction inouïe avec des centaines de personnages, des tigres, des crocodiles, des serpents, des éléphants...de nos gracieuses lectrices, reproduit ici quelques modèles parus dans le superbe album « L’Elégante», mis en vente par la Maison J. Félix, 20, rue Albert de Latour, au prix de 3 francs. La première de ces formes est faite de velours « jais », piqueté de pois blancs; de côté, se dresse une cocarde de soie plissée. Voici, de plus, deux modèles de feutre: un toquet Louis XI, couleur « marocain . . .
écran., reverra avec intérêt les traits expressifs de ce favori du public. Nous nous proposons d’ailleurs de donner sous peu la photo d’Elma Lincoln en première page de « Ciné Revue », et de l’accompagner .d’un aperçu concernant la carrière, mouvementée et brillante de cette' vedette de< l’écran. X. LES HORS-LA-LOI (suite). Nous retrouvons dans la scène finale tous nos personnages dans le grand magasin de Chang-Low, un vieux Chinois...à celui qui sera désigné, mais qu’on le choisisse! Et qu’on la délivre surtout des sous-prétendants de province. Songez qu’après avoir reçu le visa de la censure ministérielle la malheureuse n’est pas protégée contre la fantaisie des maires de toutes les communes de France qui ont pleins pouvoirs pour >la condamner à mort sur leuç territoire. Les scénarios de film» sont médiocres, sans doute; mais songez...s’entend dire par son éditeur — Attention! Pas de mort violente, le maire de X... n’aime pas ça; pas de- crime passionne], le maire d’Y... les a en horreur; pas de suicide, le maire de Z... ne peut pas les souffrir; pas de scènes de jeux, pas de scènes d’amour, pas de vols, pas de danses, pas de drames financiers, pas de sujet» médicaux, pas de personnages politiques, pas d’accidents de chemins de fer, pas de traîtres choisis dans les milieux paysans . . .
et dont les dimensions déteriîiinent celles de l’image négative. Au-dessous de cette fenêtre deux fentes verticales placées de part et d’autre de la fenêtre et dont l’écartement, correspond à la largeur de la pellicule forment une sorte de couloir tapissé de velours afin d’éviter le frottement de la surface sensible contre la platine. Le couloir dont le but est de guider la pellicule, est fermé par une porte percée...par la cadre pressant. Ce cadre, pressé contre la fenêtre par deux ressorts, assure la planéité de la pellicule pendant la durée de l’exposition. Sous le cadre presseur et fixées à la griffes remeiit élas-ssorts Sarent lé iffes après dans la et concourent de la pellicule, affleurent très le velours du Sénégal par M. fiacre à travers, prise de vues trompeé d’a plante (un ac L’actei...par une broche. Deux fentes horizontf )) garnies de velours sont ménagées en haut et en bas de la face antérieure; en de dans et on regard de chaque fente un petit rouleau pros-seur en {bottant sur le velours facilite le passage de la pellicule en s’opposant à l’admission de toute lumière. Au centre de la face postérieure, un écran permet, l’adaptation de la boîte sur la paroi postérieure de l’appareil à l’aide1 d’une vis dont . . .
est devenu uni des business-men américains qui ont le plus contribué à la- puissance économique de leur pays. William Fox est né dans le quartier sud-est de New-York. La situation de fortune de ses parents ne lui permit pas de rester longtemps à l’école. Obligé de gagner sa. vie à l’âge où. d’autres enfants entrent au collège...prétend sorcière. Elle s’adresse à LiT vette, la fiancée de Renaud, le fier « guardian ». — Donne-moi de l’huile qui est dans la jarre que je vois dans ce meuble! dit-elle à la blonde jeune fille. Or, la Bohémienne ne peut pas voir la jarre. Livette, effrayée, la chasse. Celle-ci lui jette une couronne d’épines, présage de malheur. Dans la « manade » voisine de celle de Renaud, vit Rampai. Celui-ci, ivrogne, paresseux, voleur; chassé...et plus que partout ailleurs ce don shakespearien de mêler à la folie, la sagesse, le rire aux pleurs, la joie à la douleur. C’est l’Odyssée de la pitié, la grande pitié humaine née à ce carrefour éternel fait de planches, de cendres, d’immondices. Champ d’action du policeman. Pour Charlie, ton rêve charmant pare . . .
au refuge d’Et Dorado, la célèbre maison de dames, elle met en présence le frère malade et la sœur. Après une entrevue dramatique entre Estiria et le jeune peintre, celui-ci oifre à Sibilla de conduire le petit malade dans les montagnes auprès de sa mère, et demande à Iliana de le suivre. La jeune fille part donc, en compagnie de celui qu’elle aime, et de son frère. Et, certaine alors que l’enfant sera...Tout cela nous semble ménagé pour nous procurer le frisson de la tragique et ultime sollicitation dont le brutal refuslécide l’aveugle douleur de la mère en peine à provoquer un éclat. Et ce fils..., ce fruit de la faute et de tant de larmes, la rat-tacbe-t-il si peu à la vie, que la pensée de mourir pour ne pas entraver un bel avenir entrevu, lui paraisse...en Amérique comme ailleurs, est comme la langue d’Eso-pê, la meilleure, la pire dûs choses... Maknii. A Traders la Presse La Carrière d’un Ours. Le plantigrade qui a tenu un rôle important dans le film « Miraka, la Fille à l’Ours », fait la belle recette dans une baraque de la fête du Lion! de Belfort à Paris, Une pancarte informe le public que grâce au cinéma, l’animal est aujourd’hui célèbre . . .
sincèrement, conscient de mes devoirs de critique. . La Reine de Saba, c’est l’histoire entière des peuples de Saba et de Judée; c’est Jérusalem, son temple et son arche sainte, c’est le peuple de Dieu et son grand roi le généreux Salomon, c’est la majesté, l’opulence, les amours de ce sage d’entre les sages, c’est la ravissante souveraine de Saba, c’est toute la splendeur de l’ancien Orient. Cette fresque gigantesque...si la reine de Saba, prévenue à temps, n’arrivait à la tète de ses valeureuses armées. Adonias subit le juste châtiment qu’il méritait. Le petit prince David, l’enfant de l’amour, est sauvé miraculeusement. La reine de Saba a une dernière entrevue avec Salomon, le plus puissant roi de la terre, l’amant le plus malheureux de tous les temps et, volontairement, après les adieux, Balkis...ceux du Maître. Ne croyez-vous pas qu’il y aurait de beaux films à tirer de « Germinal »; de « Paris » (ah! la course de l’anarchiste traqué à travers les taillis du Bois de Boulogne, et la promenade de l’Abbé sur les grands boulevards, à la nuit tombante), de « La Faute de l’abbé Mouret » (ah! le Paradou vu par Abel Gance!) ou de la « Bête humaine »? Au lieu de cela, nous laissons les Allemands <amnoncer qu’ils vont nous . . .
l'on peut espérer sauver encore. La première « conférence Nansen » fut donnée, le dimanche: 19 février, au cinéma de la Monnaie, sous les auspices de la Croix-Rouge de Belgique, par le -Dr René Sand, secrétaire général de la Ligue des Croix-Rouge. Le Roi et le Prince Léopold avaient tenu à marquer, par leur présence, l...dans le but de déclancher plus vite la .grève et de provoquer des troubles. Toutefois, la mèche de l’engin est mal réglée, l’explosion se produit avant la sortie do l’équipe du jour et fait de nombreuses victimes. Sàm Wigfall, le doyen des mineurs, homme juste et réfléchi, déclare la grève pour son équipe. Lorsque Armstrong, Te propriétaire...de premier ordre; c’est ainsi que nous voyons les hommes de la troupe se régaler de moelle de girafe, recueillir, faire sécher et clarifier le sel, danser, etc. Louis Smith a rendu un grand service à la scienee en organisant cette expédition et a doté la cinématographie d’un film remarquable que tout le monde devra voir. Louis Smith a ajouté un volume nouveau à la cinéthèque . . .
et luisants, pétillants de malice. Ce sont ces fenêtres que le petit diable ouvre sur le monde, qui le firent remarquer de Chaplin, ce qui, on le sait, fut le point de départ de la popularité du jeune Coogan. Nous avons dit, dans de précédentes chroniques, la joie de connaisseur découvrant un morceau de choix, de nu mismate, t r ouvan t enfin le profil tant •herché, de chercheur découvrant un merveilleux...un discours vengeur où il fustige comme ils le méritent tous ces «rapaces» qui, sous couvert de la religion, ne sont que d’affreux «Pharisiens». Le conseil de fabrique exige la démission du pasteur qui leur répond: « Je suis le serviteur de la vérité et non le vôtre». ( Cependant, Garwin. à bout de misère, se rena ehe* Parr pour le supplier de lui rendre sa place, et, comme celui-ci refuse, il l’abat, vengeant...besoins de l’action. Dans le cas qui nous occupe, il a fallu peindre en clair la charrette pour qu’elle se détache sur le noir et soit visible à la surimpression . Il va sans dire que la plus grande minutie est de rigueur pour l’obtention de pareils effets de surimpression; la collaboration du metteur en scène et de l’opérateur doit être des plus étroites. Cette collaboration . . .
de la Selig Polyscope Cy. Il s’agissait de tenir un rôle de petit garçon dans L’Ennemi commun, ce film traitant de guerres civiles. — « Ce sera pn excellent moyen de rendre à la petite ses belles couleurs, Mrs Daniels, disait le re-présenlan't de la firme de prises de vues; ce qu’il lui faut, à cette enfant, c’est l’exercice, le travail, le jeu, les sports en plein air! Et foin de l’atmosphère...très délicates de la prise de vue, dont la première est le champ. Le plus souvent, l’opérateur manquera de recul nécessaire pour arriver dés vues d’ensemble pittoresques...d’une splendeur d’étain calcinant les herbes de la Camargue. La Provence a passé tout entière dans l’âme de Mistral. Mireille, c’est la transfiguration de la nature et du cœur humain en poésie. Il y a une vertu dans le soleil et vraiment la Mireille de l’écran verse comme le livre de la lumière à chaque pas: 11 y a une goutta de rosée de l’aube qui se lève, il y a une haleine du matin qui souffle,, il y . . .
et rappelé à Londres. Les querelles entre la Fiance et l’Angleterre se sont ranimées. La flotte française jointe à la flotte espagnole est concentrée à Cadix, sous le commandement de I amiral Villeneuve. Nelson, malgré ses blessures et le mauvais état de sa santé a reçu de son Roi l’ordre de diriger son escadre sur l’Espagne el d’offrir le combat à la flotte française. Le 8 octobre i8oâ l 'amiral Nelson livra la bataille...à 1 histoire des amours de Nelson dramatisaient la fin de la vie de Lady Hamilton. Lord Hamilton vieilli, le cœur ulcéré de sa disgrâce voyait s'approcher la mort. Tl savait qu’il 11’avait que peu de jours à vivre et 11e voulant pas laisser croire à sa femme qu...le cadavre. Dans un élan généreux. Spike fait sortir Billy en bâte et, lorsque les voisins, attirés par la détonation de l’arme, arrivent, il leur déclare que c’est lui le coupable; puis, se dégageant, il s'enfuit chez Sway Wan et le prie de lui ménager une entrevue avec Gypsy. Le Chinois va la chercher. Rapidement, Spike lui explique qu’il est obligé de fuir, il la met au courant du . . .
un séjour prolongé en Egypte. Mais mous retrouvons la jeune épouse, mère d’une petite fille, accusée de meurtre sur la personne de son mari. Expliquer le calvaire de sa vie aux juges, et motiver son acte, elle n’en sent plus la force ni le besoin. Pourtant, la vpnue de son enfant, introduite un instant auprès de sa mère, décide TE HUREN TE HUREN É< léc-le/ti celle-ci à parler, pour que la petite n’ait pas, un jour, des doutes sur les causes...MARNIX. LE CINÉMA A LA FOIRE DE MILAN Le Comité de la Foire de Milan a décidé de consacrer une section importante aux appareils de photographie et cinématographie. Elle ouvre un concours...le fantastique de Poë, l’irréel de Stevenson, le mystérieux de Villîers, l’humour de Lautréamont, la caricature de James En-sor, l’imagination de Wells, dans une cadence démoniaque et fascinante. C’est de l’art pur.) Les seconds sont encore à faire ou à refaire Attendons . . .
lui faut souvent un coup de massue bien appliqué pour le décider à fermer les yeux. Le Suédois est plus sobre et plus vrai. C’est la mort sans phrase. La mort simple, il meurt dans son lit en rêvant devant un de ses paysages favoris. Il lève doucement les yeux vers le ciel.tandis que sa tête se renverse ou tombe sur sa poitrine...minutes .entières, il refait tous les mouve-ments de la gymnastique suédoise. Se sentant déjà « botté de plomb et cuirassé de marbre», il grimace horriblement, lire la langue, louche, bave et finalement consent à mourir. Il est mort. Que non. Un soubresaut, puis un autre, puis enfin le dernier. C’est à la suite d’une telle agonie, qu’une voix lança un jour au cours de la projection: « Crève donc, mais crève donc. » Et au moment le plus pathétique...le même immeuble que le Théâtre des Champs-Elysées de Gabriel Astruc, et à la construction duquel il avait collaboré de tout son effort pendant des années. L’éloge de ce monument prestigieux, qui reste classé comme le plus beau théâtre de Paris, n’est plus à faire. L’échec de cette vaste entref>rise, puis la guerre, - pendant aquelle Léon Poirier, engagé volontaire, gagna . . .
attirail, propre à parer à toutes les nécessités de la route, à toutes les exigences de la technique. Or, c’est dans le relief volcanique qu’encadre le golfe de Naples, c’est sur la mer Tyrrhénienne, dans le décor imposant des côtes escarpées de Sor- Mont-Blanc; et sur ces ri vages farouches de Madagascar et du Sénégal, et enfin à nord de divers voiliers, en de périlleuse» croisières, que la caravane artistique, organisée par...des Fous mise en scène de Cécil B. de Mille. .La Vie, la Mort ont toujours intéressé le public, ainsi le grand succès qu’il fit à la présentation de la Charrette Fantôme, œuvre suédoise due au maître Sjoström...charmeront toujours puisqu’elles nous rappellent le plaisir le plus grand de notre jeune âge: les contes fantastiques de Charles Perrault, de Grimm et de la Mère l’Oie. Il était une fois... Maurice Widy. LE PRÊCHE CONTRADICTOIRE Le Révérend John Roach Straton venait de stigmatiser le théâtre et son influence démoralisatrice en Amérique, à l . . .